Site web de Théo Saha

Nos souvenirs

Iconographie

Ayant toujours eu un attrait particulier pour la photographie (notamment pour les images vernaculaires) et les émotions qu’elle peut susciter, j’ai constamment cherché à intégrer ces ressources dans mes travaux personnels. Pour moi, ces images sont des moments uniques, des souvenirs, des marqueurs du temps qui passe et qui méritent d’être sauvegardés et réutilisés. Tant par leur capacité
à raconter des choses mais aussi par la facilité à se les approprier via notre empathie, nos compétences émotionnelles
puis à les interpréter et les associer à des moments vécus.

J’ai commencé à récupérer sans thématiques particulières, des photos anonymes, cartes postales, magazines
lors de brocantes et puces. J’ai aussi sollicité des proches afin d’obtenir des photos de famille.

Ma réflexion portait sur la mémoire collective et sur la vie de tous les jours. Mais je souhaitais également proposer de nouvelles interprétations de ces images, que les lecteurs puissent se les approprier (d’où le choix d’images vernaculaires), le tout sans dénaturer l’aspect brut des images collectées, pouvoir garder les émotions et souvenirs qu’elles pouvaient renfermer. De là, m’est venue l’idée
de manipuler ces images en les associant visuellement, créant une lecture nouvelle entre fiction et réalité, de faux souvenirs
qui prennent vie à partir d’images réelles.

Concernant le traitement des images, j’essayais d’intervenir le moins possible afin de garder le maximum d’éléments
qui les composent. Les images sont toutes basculées en noir et blanc pour vraiment plonger dans cette notion de souvenirs
et permettant également d’associer davantage les époques entre elles. Ces nouveaux « faux souvenirs » crées à partir de souvenirs bien réels, nous lance dans un premier temps dans une interprétation globale de l’image. Ensuite notre oeil distingue et essaye
de capter les imagesqui élaborent cette composition générale, proposant une double lecture. Cette superposition visuelle créer
des visuels oniriques, parfois doux, parfois effrayant. La fragilité qui né entre la réalité et la fiction fait écho à l’éphémérité
des souvenirs qui sont transmis.

Iconographie

Ayant toujours eu un attrait particulier pour
la photographie (notamment pour les images vernaculaires) et les émotions qu’elle peut susciter,
j’ai constamment cherché à intégrer ces ressources dans mes travaux personnels.

Pour moi, ces images sont des moments uniques, des souvenirs,  des marqueurs du temps qui passe et qui méritent d’être sauvegardés et réutilisés. Tant par leur capacité à raconter des choses mais aussi par la facilité à se les approprier via notre empathie, nos compétences émotionnelles puis à les interpréter et les associer à des moments vécus.

J’ai commencé à récupérer sans thématiques particulières, des photos anonymes, cartes postales, magazines lors de brocantes et puces. J’ai aussi sollicité des proches afin d’obtenir des photos de famille.

Ma réflexion portait sur la mémoire collective 
et sur la vie de tous les jours. Mais je souhaitais également proposer de nouvelles interprétations de ces images, que les lecteurs puissent se les approprier (d’où le choix d’images vernaculaires), le tout sans dénaturer l’aspect brut des images collectées, pouvoir garder les émotions et souvenirs qu’elles pouvaient renfermer.

De là, m’est venue l’idée de manipuler ces images en les associant visuellement, créant une lecture nouvelle entre fiction et réalité, de faux souvenirs qui prennent vie à partir d’images réelles.

Concernant le traitement des images, j’essayais d’intervenir le moins possible afin de garder le maximum d’éléments qui les composent. Les images sont toutes basculées en noir et blanc pour vraiment plonger dans cette notion de souvenirs et permettant également d’associer davantage les époques entre elles.

Ces nouveaux « faux souvenirs » crées à partir de souvenirs bien réels, nous lance dans un premier temps dans une interprétation globale de l’image. Ensuite notre oeil distingue et essaye de capter les images qui élaborent cette composition générale, proposant une double lecture. Cette superposition visuelle créer des visuels oniriques, parfois doux, parfois effrayant. La fragilité qui né entre la réalité et la fiction fait écho à l’éphémérité des souvenirs qui sont transmis.

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